Der Jahreswechsel steht bevor. Für die Erzählerin ist das der Beginn des Schreibens auf einem weißen Blatt Papier: alles ist möglich. Die Liebe endet, die, die sie suchte und die eine ruhige Liebe mit einem Mann an ihrer Seite sein sollte, mit dem sie gemeinsam alt werden könnte. Sie zieht einen Schlussstrich unter drei Jahre Beziehung. In Erinnerung sind da noch das Kennenlernen, die Gespräche und die Urlaube, die rückblickend kommentiert und bewertet werden. Das alles hat sie nicht überzeugt und beide werden nun wieder eigene Wege gehen.
In einem eigenwilligen Stil und mit wenig Text ist Monstera deliciosa ein interessantes Buch, in dem die Pflanze, die im Titel genannt wird, ihren symbolischen Platz hat. Die Monstera deliciosa, zu deutsch Fensterblatt, hatte sie übergangsweise ihrer Tochter gegeben. Als sie sie wieder zu sich nimmt, steht ein Umpflanzen bevor.
Roman
Hamac, 2015
148 Seiten
17,95 $
« Ça s’est passé au réveil.
Le premier jour de l’année était comme une page vierge. Le début d’un nouveau cahier. L’occasion de repartir en neuf avec les meilleures résolutions du monde.
Elle chérissait ce jour plus que tous les autres. Depuis quelques années, elle avait troqué le repas de famille tradionnel pour un rituel qui commençait en décembre avec la recherche intuitive d’un animal tutélaire dont les principales qualités annonçaient le défi à relever. La direction à prendre.
Cette année-là, la tortue. Pour sa lenteur, qui l’inspirait.
Il ne fallait rien précipiter. Apprendre la patience aussi. N’avait-elle pas souhaité tout ce qui arrivait ? Un homme à son niveau intellectuel, établi, sans enfant, un revenu semblable au sien. Pas de granss émois, mais la stabilité.
Un homme auprès de qui vieillir. Un amour tranquille. » – Lynda Dion: Monstera deliciosa, Hamac, 2015, S. 53